Presse



 

Voilà plus de 30 ans que le trio MEJ sillonne les espaces francophones pour colporter les paroles et les mélodies du bon Maître.


A leur actif, plus de 1000 concerts dont l’Olympia en vedette, le prix SACEM (« Une journée particulière »), le parrainage de grands noms du spectacle (Raymond DEVOS, Claude NOUGARO …), 9 albums enregistrés sous le label Europe 1 dont un DVD en public.  


Leur spectacle, c’est deux heures d’émotion, de découvertes, de retrouvailles avec les grands classiques du père Brassens, mais aussi des inédits, des instrumentaux …


Grande sincérité, professionnalisme, caractère jazzy de leurs arrangements ont fait de MEJ trio depuis plus de 30 ans une référence incontournable dans le monde toujours très actuel du père Brassens. 


Un CD avec l’Orchestre de Chambre de Toulouse  distribué nationalement par MOSAIC est suivi d’une série de concerts.

 

 


 

 


 

Brassens classique avec Mej Trio

 

Musiciens de Mej Trio et de l'Orchestre de chambre de Toulouse réunis autour de l'œuvre de Georges Brassens./Photo DR.
Musiciens de Mej Trio et de l'Orchestre de chambre de Toulouse réunis autour de l'œuvre de Georges Brassens./Photo DR.
Musiciens de Mej Trio et de l'Orchestre de chambre de Toulouse réunis autour de l'œuvre de Georges Brassens./Photo DR.
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Trente ans bientôt déjà que Georges Brassens a rejoint le paradis des poètes, un triste 29 octobre 1981. Trente ans aussi que le groupe toulousain Mej Trio défend (avec talent) ses plus belles chansons. Un millier de concerts, huit albums, un DVD…

Le bilan artistique du trio témoigne d'un engagement peu commun en la matière.

En 2001, année anniversaire de la mort de l'auteur de « La Mauvaise réputation », Mej Trio célèbre plus que jamais la mémoire de son « père » artistique. Le chanteur Didier Coll, le guitariste Jacques Echene et le contrebassiste Alain Jubert viennent de lui consacrer deux nouveaux albums.

Après « 2011, trente ans… déjà », paru au printemps, voici « Brassens, ses classiques », enregistré avec les musiciens de l'Orchestre de chambre de Toulouse.

Une grande première pour les chansons de Georges. « Jamais un orchestre classique n'avait accompagné Brassens, ni habillé ses chansons. L'enregistrement a été réalisé au mois de juillet à l'auditorium de l'École de musique de Muret », précise Jacques Echene. « Auprès de mon arbre », « Chanson de l'Auvergnat », « La Chasse aux papillons » figurent parmi les quinze titres réunis sur le CD. Didier Coll, le chanteur du trio depuis 2002, s'est occupé de réaliser les arrangements pour orchestre à cordes. « Tout a commencé l'an dernier à Muret lors d'un concert célébrant les trente de l'école de musique. L'Orchestre de chambre de Toulouse, qui participait à la soirée, a joué avec nous un arrangement de la chanson « Brave Margot » de Brassens », explique le guitariste du groupe. Publié par Mozaic, l'album est en vente chez les disquaires depuis seulement quelques jours.

La belle aventure se poursuivra le 4 février à Muret lors d'un concert : Mej Trio et l'Orchestre de chambre de Toulouse reprendront ensemble les chansons de l'album. Jacques Echene, à l'origine de la création de Mej Trio avec le chanteur Georges Madaule et le contrebassiste Alain Jubert, n'a pas oublié ses premiers contacts avec l'univers de Brassens. « Au début j'étais touché par la musique de ses chansons. Je ressentais une impression de simplicité en l'écoutant. Le chanteur s'exprimait à la manière d'un diseur, d'un conteur. Bien qu'il n'ait pas pris de cours de technique vocale, il chantait juste. Georges Brassens ne connaissait pas, non plus, le solfège. Il composait sur son clavier, trouvait ses accords d'accompagnement à la guitare. Il laissait ensuite à un musicien le soin d'écrire les notes », raconte Jacques Echene.

Soucieux de respecter le style de son modèle, Mej Trio reconstitue dès ses débuts la formation initiale des enregistrements de Georges Brassens : un chanteur guitariste, accompagné d'une autre guitare et d'une contrebasse.

La rencontre avec Brassens

« En scène, Brassens était toujours en duo avec Pierre Nicolas, son célèbre contrebassiste. Les disques étaient, en revanche, enregistrés en trio, avec une deuxième guitare », précise-t-il.

 

C'est à Paris que Georges Madaule (premier chanteur de Mej Trio disparu en 2002) avait rencontré Georges Brassens. « Il nous le présentera quelques années plus tard dans les coulisses du Théâtre du Capitole à l'occasion d'un concert. Je crois que c'était à la fin des années soixante-dix. Brassens était déjà malade », témoigne Jacques Echene.

Aujourd'hui, le musicien « se régale toujours de jouer les œuvres du chanteur sétois. « J'aime beaucoup les chansons d'amour comme Pénélope ou Saturne. J'apprécie également les titres composés sur les textes d'autres auteurs comme Jean Richepin, Victor Hugo, Alphonse de Lamartine », dit-il.

 

« Brassens, les classiques », un CD Mozaic chez les disquaires.

 

 

Source: Anne-Marie Chouchan,ladepeche.fr

 


 

Muret. MEJ Trio : de nouvelles cordes à leur talent

 

Le MEJ TRio entouré par l'orchestre de chambre de Toulouse. Photo DDM R.C.
Le MEJ TRio entouré par l'orchestre de chambre de Toulouse. Photo DDM R.C.
Le MEJ TRio entouré par l'orchestre de chambre de Toulouse. Photo DDM R.C.

Le Mej trio, c'est déjà un tiercé gagnant. Le Mej trio, plus Brassens, plus l'Orchestre de chambre de Toulouse, c'est la mise raflée sans coup férir.

 

La sale Alizé était comble pour assister à l'événement : quatorze cordes pour accompagner la guitare de Brassens. On doit à Didier Coll cette idée pas si saugrenue, car comme le dit le populaire professeur de l'EMEA, « Brassens, c'est aussi de la musique ».

 

L'exercice, parfaitement maîtrisé, était plus abouti sur certaines chansons. Les sanglots longs des violons vont bien à la mélancolie des « Passantes » ou de « Saturne ». Employés avec légèreté, ornés de pizzicati, ils ralentissent à peine le pas alerte du « Gorille » ou de la « Brave Margot ». Le plaisir évident des musiciens qui avaient l'air de bien s'amuser sur scène a été contagieux.

 

Le public a applaudi debout et réclamé tant de « bis » qu'il a épuisé le répertoire de cet hommage à Georges Brassens, disparu il y a trente ans.

Pour le Mej trio, il est évident qu'il est toujours vivant. Jacques Echene et Alain Jubert le possèdent sur le bout des doigts et Didier Coll, qui le chante depuis 17 ans maintenant, avec sa moustache et ses intonations, prend de plus en plus les allures de son modèle.

 

Le trio a reçu les félicitations d' Hélène Nougaro, venue à la salle Alizé sans ses sabots. E.E.

 

Source: E.E., ladepeche.fr

 


 

Le beau mariage du Mej trio et de l’OCT

 

 

De son propre aveu, Brassens avait pris un pied magistral en enregistrant ses mélodies aux côtés des grandes pointures du jazz de l’époque. C’était en 1979, sous la houlette de Moustache et de ses « Petits Français »…L’été dernier, lors des séances d’enregistrement à l’auditorium du conservatoire de Muret, gageons que les trois compères du Mej trio (Didier Coll, Jacques Echène et Alain Jubert) éprouvèrent une « bandaison » du même ordre à la perspective de graver les airs de Tonton en compagnie de l’orchestre de chambre de Toulouse. Une entreprise aussi originale qu’inédite. Résultat de ce challenge ? Rien moins qu’une belle réussite.

 

 Il est vrai que le savoir-faire du trio aussi bien que celui de l’OCT pouvaient augurer, au-delà de quelques aléas d’ordre technique, d’une conclusion plus que satisfaisante. Le trio nous a déjà donné plusieurs opus ciselés autour des rimes du poète sétois, quant à l’orchestre de chambre haut-garonnais, les amateurs de musique classique n’en n’ont jamais parlé autrement qu’en mettant l’accent sur son raffinement et la notable virtuosité de ses onze instrumentistes. L’assise était solide donc, mais qu’allait-il advenir de la confrontation de deux musicalités apparemment aussi dissemblables que celle du jazz et celle de la musique dite classique ?...L’écoute attentive de la dernière galette du trio accompagné par la petite formation orchestrale apporte sans conteste une réponse convaincante à la question de cette improbable quadrature.

La réussite de cet album tient à mon sens d’une double approche : d’une part le talent de Didier Coll dans l’exercice périlleux de l’interprétation des chansons du « bon maître », d’autre part la surprenante connivence musicale entre le trio et l’orchestre de chambre.

 

 La voix grave et parfaitement timbrée du chanteur, sa diction jamais prise en défaut comme sa façon de goûter les syllabes à la manière d’un taste-mots confirment, s’il en était encore besoin, que Didier Coll est sans conteste l’un des meilleurs interprètes de Brassens. L’humilité en regard des textes qu’il sert, en sus.

 

Pour ce qui concerne la partie instrumentale, force est de constater que le trio est parvenu au plus juste à se lover douillettement au sein de la niche orchestrale, aussi bien techniquement que sous l’angle de la musicalité. Une symbiose tenant au fait que chacun des instrumentistes, du trio comme de l’orchestre, apporte sa contribution à part égale avec comme unique souci de porter plus loin et plus haut la réussite de l’ensemble. De fait, une intime collaboration entre musiciens où chacun, tenant sa partie indépendante, se nourrit de l’apport de l’autre.

 

 Autre réussite de l’album : la noce attendue, avec quelque curiosité convenons-en, entre la musique improvisée du trio et la contraignante fidélité à la partition requise par la musique orchestrale. Là encore, l’hyménée carillonne à l’évidence aux accents des violons, altos, violoncelles, contrebasses et autres guitares à l’unisson…

Et Brassens, dans tout cela ?...A coup sûr le grand gagnant dans l’affaire qui voit ses lignes mélodiques mises en valeur comme jamais auparavant, dont les musiques se trouvent tout soudain parées d’une couleur que lui-même n’imaginait sans doute pas !...Une nouvelle vie pour ses couplets, en quelque sorte.

 

 Le choix des chansons ? Dix titres, pas moins, sur les 14 proposés par le Mej trio (outre une version instrumentale sur « Elégie à un rat de cave »), datent des années 50, les années définitivement classiques. Les autres : « Saturne » petit bijou en introduction du CD, « Dans l’eau de la claire fontaine » où les contrepoints de l’OCT sont notablement réjouissants, « Jeanne » revêtue d’une nouvelle couleur intimiste, « Les passantes », tant de fois adaptée, mais qui, en la circonstance, est portée au plus haut par un crescendo superbe de l’orchestre de chambre de Toulouse.

 

 

Ce disque du Mej trio accompagné par l’OCT ?...Au-delà de la dithyrambe, un simple petit moment de bonheur !...

                                       Christian Deville-Cavelin, journaliste spécialisé chanson


 

Paroles de journalistes, écrivains, critiques spécialisés

 

 

 

 

« Une rencontre exceptionnelle, une incroyable nouvelle : un album Brassens rassemblant l’orchestre de Chambre de Toulouse et le MEJ trio ! »

« L’événement est d’importance car, tout en apportant une musicalité jusqu’alors inédite, il brise dans le même temps un tabou en mêlant les cordes des guitares jazzy avec les cordes classiques de la « grande » musique.

Brassens considérait la chanson comme une confidence faite pour passer de bouche à oreille.

Alors ... ouvrez les vôtres et écoutez ! »

 

Claude Mesplède, écrivain et critique *

 

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« L'idée d'une collaboration entre MEJ et l’ OCT vient d'Alain Jubert.

Une telle expérience, celle d'un orchestre de chambre accompagnant un trio Brassens est à ma connaissance complètement inédite et apporte un éclairage neuf sur la richesse des mélodies de Brassens .

Le résultat est de toute beauté : les quinze titres du CD sont là pour en faire la preuve. »

 

Joseph Moalic, écrivain, critique   **

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Le beau mariage du Mej trio et de l’OCT

 

Une entreprise aussi originale qu’inédite.

La réussite de cet album tient à mon sens d’une double approche : d’une part le talent de Didier Coll dans l’exercice périlleux de l’interprétation des chansons du « bon maître », d’autre part la surprenante connivence musicale entre le trio et l’orchestre de chambre.

Didier Coll est sans conteste l’un des meilleurs interprètes de Brassens.

Autre réussite de l’album : la noce attendue, avec quelque curiosité convenons-en, entre la musique improvisée du trio et la contraignante fidélité à la partition requise par la musique orchestrale. Là encore, l’hyménée carillonne à l’évidence aux accents des violons, altos, violoncelles, contrebasses et autres guitares à l’unisson…

Et Brassens, dans tout cela ?...A coup sûr le grand gagnant dans l’affaire qui voit ses lignes mélodiques mises en valeur comme jamais auparavant, dont les musiques se trouvent tout soudain parées d’une couleur que lui-même n’imaginait sans doute pas !...Une nouvelle vie pour ses couplets, en quelque sorte.

Ce disque du Mej trio accompagné par l’OCT ?...Au-delà de la dithyrambe, un simple petit moment de bonheur !...

 

Christian Deville-Cavelin, journaliste chanson

 

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« J’imagine aujourd’hui le visage souriant et heureux de Georges Brassens à l’écoute de cette aventure musicale insolite qui réunit avec tant de délicatesse et de charme les facéties espiègles de sa guitare et la discrète mais bien présente caresse des cordes de l’Orchestre de Chambre de Toulouse.

Certes, les trois complices donnent le ton avec le brio et le talent qui ont établi leur renommée, mais l’œuvre initiale prend ici une dimension inattendue, exceptionnelle, ou l’intelligence et la sensibilité forcent le respect et l’admiration. »

 

Jean Dufour, écrivain, agent artistique ***

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« Trois dons illuminent la route enchantée, déjà longue, du Mej trio : le don d’interprétation (Brassens chanté tant de fois, depuis si longtemps, mais jamais trahi) le don de fidélité et celui de la générosité. Pour vous en convaincre, il suffit d’écouter leur dernier disque dans lequel MEJ trio est accompagné par le prestigieux Orchestre de Chambre de Toulouse »

 

Jean Paul Sermonte, rédacteur en chef de la revue « Les amis de Georges », poète, romancier, essayiste ****  

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«  Il fallait donc bien qu'un jour la musique classique se penche sur les notes du poète Sétois. Grâce à la complicité musicale du MEJ trio et du prestigieux Orchestre de Chambre de Toulouse c'est aujourd'hui chose faite avec cet album qui nous donne à découvrir un autre Brassens. »

 

Pierre Schuller *****

 

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"Brassens a eu, à ce jour, plus de mille interprètes professionnels. Aucun n'avait eu l'audace de tenter l'aventure d'un album avec un orchestre classique. Des gens qui ne pardonnent ni une note incongrue ni une double croche mal placée; et qui, d'ordinaire, semblent avoir chaussé du plomb quand ils s'attaquent au swing. Pas une mince affaire. Didier s'y est collé, Jacques s'est échiné,  Alain a jubilé et nous avec. Tout y est : souffle, swing, légèreté. Gagné !

 

Didier Agid, écrivain ******

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*     Claude Mesplède : Claude Mesplède - Wikipédia, http://claudemesplede.com/      
**    Joseph Moalic : « Avec Fanon », (éd. Christian Pirot) « tout finit par des chansons » (éd. L’Archipel).
***    Jean Dufour : « Félix Leclerc. D’une étoile à l’autre » (éd Christian Pirot), « Raymond Devos. Funambule des mots » (éd L’Archipel), « Jacques Douai. L’art et le partage » (éd. Le bord de l’eau), « Les faux nez » (éd. Cabedita / Suisse), « Portraits volés » (éd. Le bord de l’eau), « Les frères Jacques. De l’entrecôte à la confiture » (à paraître très prochainement)          
**** Jean Paul Sermonte :  « Georges Brassens ou la tombe buissonnière », «  Brassens, au bois de mon cœur » (éd. Didier Carpentier). (www.sermonte.net, www.lesamisdegeorges.com)    
***** Pierre Schuller : www.aupresdesonarbre.com
****** Didier Agid : « Brassens » (éd. Fradet). www.georgesbrassens.fr/brassensagid.htm